Si les fenêtres sont une source de lumière essentielle au bien-être dans le logement, l’éclairage demeure indispensable lorsque la lumière naturelle est insuffisante. Selon le type d’ampoule utilisé, l’éclairage peut représenter jusqu’à 15% de la consommation électrique. Il est donc important de bien réfléchir aux différents éclairages disponibles.
- Les LED (diodes électroluminescentes) sont les plus économiques : elles durent plus longtemps et consomment moins d’électricité.
- Les LFC (lampes fluocompactes) sont également économiques mais durent moins longtemps que les LED. Elles mettent plus de temps à s’allumer et doivent donc être placées dans des pièces qui restent longtemps allumées. Attention également avec ces ampoules qui contiennent des éléments à recycler et doivent en fin de vie être déposées en déchetterie et non à la poubelle.
- Les lampes halogènes sont classées C ou D car elles consomment beaucoup plus d’électricité pour une durée de vie inférieure.
- Les lampes à incandescence ne sont plus disponibles à la vente. Très peu efficaces, il est conseillé de les remplacer.
Les lampes les moins consommatrices sont évidemment celles à prioriser dans le logement. Lors de l’achat, il faut prendre en compte :
- La puissance mesurée en Watt.
- Le flux lumineux indiqué en lumen, qui correspond à l’intensité. L’efficacité de la lampe peut aussi être indiquée en lumen/Watt
- L’étiquette énergie : une lampe de classe A permet de faire 75 à 80 % d’économie par rapport à une classe D ou E.
- La durée de vie : 1 000 heures d’utilisation en moyenne par an.
- Le nombre d’allumage et le temps d’allumage pour atteindre 60% de son flux lumineux.
- La température de couleur et son flux : de blanc (6 000 K) à jaune (3 400 K). La couleur de la lumière va également jouer sur le bien-être.